Probiotiques pour la flore intime et intestinale

Un microbiote équilibré est le socle d'une santé optimale et nos flores, intestinale et intime, sont peuplées de bonnes et "mauvaises" bactéries.

Les probiotiques viennent soutenir l'équilibre de notre flore en peuplant celle-ci de micro-organismes bénéfiques.

Les facteurs qui peuvent endommager ou déséquilibrer le microbiote sont nombreux (alimentation, stress, maladies, prise de certains traitements etc...). Les probiotiques contribuent ainsi à l'équilibre de la flore intestinale.

Sur la sphère intime :
Le microbiote vaginal est principalement composé de Lactobacillus, des bactéries lactiques qui maintiennent un environnement acide pour empêcher la prolifération de certaines bactéries pathogènes. En cas de déséquilibre de la flore vaginale (on parle de “dysbiose”), la teneur en Lactobacillus est plus faible et le pH vaginal augmente, créant un terrain de jeu propice à la croissance de micro-organismes indésirables, généralement responsables de désagréments intimes (du type vaginose, mycose vaginale, vaginite etc...)

Sur la sphère intestinale :
Le microbiote intestinal joue un rôle clé dans les fonctions métaboliques, immunitaires et de barrière. Cependant, un déséquilibre peut entraîner certains inconforts digestifs tels que des diarrhées, des flatulences ou de la constipation.

En parcours de maternité :
Les probiotiques peuvent-ils jouer un rôle ? Plusieurs études montrent un intérêt à chaque étape de la maternité.

• En préconception : Un microbiote vaginal “déséquilibré” pourrait affecter négativement les chances de grossesse. Une étude scientifique a d’ailleurs montré qu’un microbiote intime pauvre en Lactobacillus pouvait significativement diminuer les taux d’implantation, de grossesses et de naissances vivantes, soulignant l’importance d’un microbiote vaginal en bonne santé pour concevoir. De plus, une revue a observé que le microbiote vaginal de femmes fertiles était dominé par Lactobacillus spp. alors que les femmes non fertiles avaient un microbiote déséquilibré. Ainsi, les probiotiques pourraient avoir un rôle positif dans la santé reproductive. [8-11]

• En parcours PMA : L'usage des probiotiques est encouragé par de nombreux professionnels de santé sur le moyen terme. Pour les femmes engagées dans un parcours de procréation médicalement assistée, un microbiote équilibré pourrait jouer un rôle dans le succès de la nidation, donc l'implantation de l'embryon dans l'utérus. Certains probiotiques, en soutenant l’équilibre hormonal et en aidant à moduler l’inflammation, pourraient contribuer à créer un environnement plus accueillant pour l'embryon. Ainsi, intégrer des probiotiques avant la PMA favoriserait les conditions optimales pour la nidation et augmenter les chances de réussite. [10]

• Pendant la grossesse : Une revue scientifique suggère qu’un microbiote pauvre en Lactobacillus pourrait être associé à un risque plus élevé d’accouchements prématurés, en comparaison avec un microbiote vaginal dominé par L. crispatus. [12] Une autre étude a montré que les bébés nés par voie basse présentaient des communautés bactériennes similaires à celles du microbiote vaginal de leur mère. Ainsi, si le microbiote vaginal de la mère est pauvre en Lactobacillus, cela pourrait influencer la composition des microbiotes du nouveau-né. [13] 

• En post-partum : Certains probiotiques tels que L. rhamnosus ont montré des résultats prometteurs sur le bien-être émotionnel. [14,15]

Notre produit Probiotiques regroupe un ensemble de ferments lactiques nécessaires à la flore intestinale et à la flore intime. 

Allégations de santé : 

Les probiotiques contribuent à l’équilibre de la flore intestinale. 
La vitamine B2 contribue au maintien de muqueuses normales. 

Pour tirer pleinement profit des bienfaits de notre cure Probiotiques, quelques gestes simples peuvent faire toute la différence. Voici nos recommandations pour garantir une utilisation optimale :

Comment prendre ma cure ? 

Prendre 1 gélule par jour avec un grand verre d'eau, de préférence le matin. Cette routine vous assure un apport quotidien constant en bactéries bénéfiques.

Il est recommandé de prendre les probiotiques à jeun, environ 30 à 15 minutes avant le petit-déjeuner. Si vous préférez les prendre à un autre moment de la journée, veillez simplement à les consommer à distance des repas (minimum 2h) et loin de boissons chaudes qui pourraient impacter l'efficacité de la cure.

Durée et régularité : 

Une cure de 3 mois minimum est recommandée. La constance est clé pour ressentir pleinement les bienfaits de notre cure Probiotiques. Une consommation prolongée est possible, cela permet aux bonnes bactéries de s’implanter et de rétablir l’équilibre microbien de manière durable.

Conditions de conservation :

Pour préserver la qualité des souches, conservez les gélules dans un endroit frais et sec. Nos Probiotiques sont stockés au frais dès fabrication, ainsi que dans notre entrepôt logistique afin de préserver leur efficacité. Chez vous, placez-les idéalement au réfrigérateur pour assurer leur fraîcheur et leur bienfaits sur le long terme. Bien que nos probiotiques soient stables à température ambiante, un stockage réfrigéré prolonge leur efficacité.

Qui peut prendre Probiotiques ? 

N’importe quelle femme soucieuse de sa santé intestinale et de son bien-être intime, en parcours de maternité (préconception, grossesse, post-partum), ou à n’importe quel moment de la vie. Idéal en cas de déséquilibre de la flore intime et/ou intestinale. 

Probiotiques est compatible en cas de grossesse et/ou d’allaitement. Toutefois, n’hésitez pas à en parler à votre professionnel de santé avant toute supplémentation. 

Notre complément alimentaire Probiotiques convient également aux hommes.

Ne peut être substitué à une alimentation variée et équilibrée et à un mode de vie sain.

Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.

Tenir à l’abri de la chaleur, de l’humidité et hors de portée des jeunes enfants.

Réservé aux adultes.

Les femmes enceintes et allaitantes sont invitées à prendre l'attache d'un professionnel de santé avant toute supplémentation. 

Références bibliographiques :
[1] Grattepanche, Astrid Cécile Emma. « Probiotiques gynécologiques en officine », s. d. 

[2] Mändar, R., G. Sõerunurk, J. Štšepetova, I. Smidt, T. Rööp, S. Kõljalg, M. Saare, et al. « Impact of Lactobacillus Crispatus-Containing Oral and Vaginal Probiotics on Vaginal Health: A Randomised Double-Blind Placebo Controlled Clinical Trial », 14 avril 2023. https://doi.org/10.3920/BM2022.0091.

[3] Gudnadottir, Unnur, Justine W. Debelius, Juan Du, Luisa W. Hugerth, Hanna Danielsson, Ina Schuppe-Koistinen, Emma Fransson, et Nele Brusselaers. « The Vaginal Microbiome and the Risk of Preterm Birth: A Systematic Review and Network Meta-Analysis ». Scientific Reports 12, no 1 (13 mai 2022): 7926. https://doi.org/10.1038/s41598-022-12007-9.

[4] Slykerman, R. F., F. Hood, K. Wickens, J. M. D. Thompson, C. Barthow, R. Murphy, J. Kang, et al. « Effect of Lactobacillus Rhamnosus HN001 in Pregnancy on Postpartum Symptoms of Depression and Anxiety: A Randomised Double-Blind Placebo-Controlled Trial ». EBioMedicine 24 (octobre 2017): 159‑65. https://doi.org/10.1016/j.ebiom.2017.09.013.

[5] Ho, Ming, Yin-Yi Chang, Wei-Chun Chang, Hung-Chih Lin, Mei-Hung Wang, Wu-Chou Lin, et Tsan-Hung Chiu. « Oral Lactobacillus rhamnosus GR-1 and Lactobacillus reuteri RC-14 to reduce Group B Streptococcus colonization in pregnant women: A randomized controlled trial ». Taiwanese Journal of Obstetrics and Gynecology 55, no 4 (1 août 2016): 515‑18. https://doi.org/10.1016/j.tjog.2016.06.003.

[6] Sabaté, Jean-Marc, et Franck Iglicki. « Effect of Bifidobacterium Longum 35624 on Disease Severity and Quality of Life in Patients with Irritable Bowel Syndrome ». World Journal of Gastroenterology 28, no 7 (21 février 2022): 732. https://doi.org/10.3748/wjg.v28.i7.732.

[7] Solovyeva et al. « Long-term probiotic administration for irritable bowel syndrome: a legal need ». Terapevticheskii arkhiv 95, no 8 (11 octobre 2023): 679‑85. https://doi.org/10.26442/00403660.2023.08.202378.

[8] Singer, M., M. Borg, S. Ouburg, et S. A. Morré. « The relation of the vaginal microbiota to early pregnancy development during in vitro fertilization treatment—A meta-analysis ».Journal of Gynecology Obstetrics and Human Reproduction48, no 4 (1 avril 2019): 223‑29. https://doi.org/10.1016/j.jogoh.2019.01.007.

[9] Haahr, T., J.S. Jensen, L. Thomsen, L. Duus, K. Rygaard, et P. Humaidan. « Abnormal vaginal microbiota may be associated with poor reproductive outcomes: a prospective study in IVF patients ».Human Reproduction31, no 4 (1 avril 2016): 795‑803. https://doi.org/10.1093/humrep/dew026.

[10] Moreno, Inmaculada, Francisco M. Codoñer, Felipe Vilella, Diana Valbuena, Juan F. Martinez-Blanch, Jorge Jimenez-Almazán, Roberto Alonso, et al. « Evidence That the Endometrial Microbiota Has an Effect on Implantation Success or Failure ».American Journal of Obstetrics and Gynecology215, no 6 (décembre 2016): 684‑703. https://doi.org/10.1016/j.ajog.2016.09.075.

[11] Souza, Sabrina Vieira de, Paula Bruno Monteiro, Gabriel Acacio de Moura, Nayara Oliveira Santos, Cristina Tonin Beneli Fontanezi, Isadora de Almeida Gomes, et Clara Andrade Teixeira. « Vaginal Microbioma and the Presence of Lactobacillus Spp. as Interferences in Female Fertility: A Review System ».JBRA Assisted Reproduction27, no 3 (septembre 2023): 496. https://doi.org/10.5935/1518-0557.20230006.

[12] Gudnadottir, Unnur, Justine W. Debelius, Juan Du, Luisa W. Hugerth, Hanna Danielsson, Ina Schuppe-Koistinen, Emma Fransson, et Nele Brusselaers. « The Vaginal Microbiome and the Risk of Preterm Birth: A Systematic Review and Network Meta-Analysis ».Scientific Reports12, no 1 (13 mai 2022): 7926. https://doi.org/10.1038/s41598-022-12007-9.

[13] Dominguez-Bello, Maria G., Elizabeth K. Costello, Monica Contreras, Magda Magris, Glida Hidalgo, Noah Fierer, et Rob Knight. « Delivery Mode Shapes the Acquisition and Structure of the Initial Microbiota across Multiple Body Habitats in Newborns ».Proceedings of the National Academy of Sciences107, no 26 (29 juin 2010): 11971‑75. https://doi.org/10.1073/pnas.1002601107.

[14] Slykerman, R. F., F. Hood, K. Wickens, J. M. D. Thompson, C. Barthow, R. Murphy, J. Kang, et al. « Effect of Lactobacillus Rhamnosus HN001 in Pregnancy on Postpartum Symptoms of Depression and Anxiety: A Randomised Double-Blind Placebo-Controlled Trial ».EBioMedicine24 (octobre 2017): 159‑65. https://doi.org/10.1016/j.ebiom.2017.09.013.

[15] Al Kassaa, Imad, et Maher Fuad. « Effects of Lacticaseibacillus Rhamnosus HN001 on Happiness and Mental Well-Being: Findings from a Randomized Controlled Trial ». Nutrients16, no 17 (janvier 2024): 2936. https://doi.org/10.3390/nu16172936.